L’alignement curriculaire suppose une cohérence et une adéquation entre : Ce que prescrivent les programmes. Ce que l’enseignant fait en classe. Ce que les élèves apprennent. L’évaluation dans ses fonctions formatives et sommatives. Cette adéquation implique également une harmonisation des pratiques entre enseignants d’une même discipline.
Bonjour Didier. Merci pour toutes ces informations. Je m'interroge sur ma façon de procéder en classe : j'ai organisé une planification des évalutions formatrice et sommative et des réactivations expansées (au nombre de 3) Je propose en premier la formatrice puis la sommative mais je devrais peut-être laisser les élèves choisir le bon moment pour faire la sommative, c'est-à-dire leur proposer plus de souplesse pour qu'ils la fassent quand ils se sentent prêts. Qu'en pensez-vous ? Merci infiniment. Martine B
effectivement, il est toujours intéressant de proposer plus de souplesse et d'individualisation, mais ça se heurte aux ressource en temps disponible et aux capacités d'autorégulation des élèves. Je pense que l'approche de la note constructive proposée par Raphaël Pasquini est interessante car elle permet de coupler les fonctions formative et sommatives. Le modèle de Dylan Wiliam pour l'évaluation formative permet de son côté de travailler sur le responsabilisation des élèves. Les deux modèles utilisent un format d'objectifs d'apprentissage et de critères de réussite qui peuvent à la fois servir de support pour la rétroaction à la classe entière, et pour une forme de rétroaction plus individualisée en cas de nécessite vers l'élève et ses parents. La démarche dans son ensemble permet d'être plus proactif et moins réactif, donc de limiter les incertitudes.
Je vous remercie pour votre réponse. J'ai récemment téléchargé la note rédigée par R. Pasquini dans le but de l'utiliser pour optimiser la combinaison entre les évaluations formatives et sommatives, ainsi que des réactivations et des quiz proposés en classe. J'ai déjà élaboré un tableau récapitulatif pour planifier ces éléments, ce qui a été mis en œuvre avec succès l'année dernière. Cependant, je souhaite approfondir davantage cette approche en l'expérimentant avec un groupe témoin.
Bonjour Didier. Merci pour toutes ces informations. Je m'interroge sur ma façon de procéder en classe : j'ai organisé une planification des évalutions formatrice et sommative et des réactivations expansées (au nombre de 3) Je propose en premier la formatrice puis la sommative mais je devrais peut-être laisser les élèves choisir le bon moment pour faire la sommative, c'est-à-dire leur proposer plus de souplesse pour qu'ils la fassent quand ils se sentent prêts. Qu'en pensez-vous ? Merci infiniment. Martine B
Bonjour Martine,
effectivement, il est toujours intéressant de proposer plus de souplesse et d'individualisation, mais ça se heurte aux ressource en temps disponible et aux capacités d'autorégulation des élèves. Je pense que l'approche de la note constructive proposée par Raphaël Pasquini est interessante car elle permet de coupler les fonctions formative et sommatives. Le modèle de Dylan Wiliam pour l'évaluation formative permet de son côté de travailler sur le responsabilisation des élèves. Les deux modèles utilisent un format d'objectifs d'apprentissage et de critères de réussite qui peuvent à la fois servir de support pour la rétroaction à la classe entière, et pour une forme de rétroaction plus individualisée en cas de nécessite vers l'élève et ses parents. La démarche dans son ensemble permet d'être plus proactif et moins réactif, donc de limiter les incertitudes.
Je vous remercie pour votre réponse. J'ai récemment téléchargé la note rédigée par R. Pasquini dans le but de l'utiliser pour optimiser la combinaison entre les évaluations formatives et sommatives, ainsi que des réactivations et des quiz proposés en classe. J'ai déjà élaboré un tableau récapitulatif pour planifier ces éléments, ce qui a été mis en œuvre avec succès l'année dernière. Cependant, je souhaite approfondir davantage cette approche en l'expérimentant avec un groupe témoin.