Une alternative à l’évaluation formative ou à la note constructive est de faire une évaluation sommative distribuée. Cette pratique est courante dans l’enseignement secondaire. Elle consiste le long d’une période à compiler dans un carnet de notes les différentes notes obtenues par les élèves. Celles-ci peuvent être obtenues pour des devoirs, des productions, des travaux de groupes et surtout pour des évaluations de tailles diverses.
C’est une démonstration que l’évaluation formative doit être distinguée de l’évaluation sommative. Autrement dit, nous réalisons soit une évaluation sommative soit une évaluation formative. L’une ne peut pas se substituer à l’autre. Si j’ai bien compris, l’évaluation sommative distribuée postulent que les évaluations sont équivalentes et fiables. Je doute de la fiabilité des évaluations habituellement réalisées. Ces évaluations ne sont pas standardisées et impliquent souvent de nombreuses compétences en plus de celle visée.
Bonjour Alexandre, je partage ton point de vue. Je suis occupé à m'intéresser au travail de Raphaël Pasquini ( https://www.pulaval.com/livres/quand-la-note-devient-constructive-evaluer-pour-certifier-et-soutenir-les-apprentissages) sur ces questions et je trouve que son modèle de la note constructive est une contribution importante à ce domaine. En dehors de cela, je pense qu'il y a un danger dans un contexte scolaire à se limiter à des évaluations sommatives ponctuelles car elles ne mesurent qu'une performance or on cherche un apprentissage. Je pense que ces évaluation finales doivent être conservées et que la perspective de la note constructive permet d'associer pleinement les dimensions formatives et sommatives. Mais ça représente un réel challenge car ça amène à élargir la notion d'alignement curriculaire (https://www.erudit.org/en/journals/mee/2019-v42-n1-mee05062/1066598ar.pdf) .
C’est une démonstration que l’évaluation formative doit être distinguée de l’évaluation sommative. Autrement dit, nous réalisons soit une évaluation sommative soit une évaluation formative. L’une ne peut pas se substituer à l’autre. Si j’ai bien compris, l’évaluation sommative distribuée postulent que les évaluations sont équivalentes et fiables. Je doute de la fiabilité des évaluations habituellement réalisées. Ces évaluations ne sont pas standardisées et impliquent souvent de nombreuses compétences en plus de celle visée.
Bonjour Alexandre, je partage ton point de vue. Je suis occupé à m'intéresser au travail de Raphaël Pasquini ( https://www.pulaval.com/livres/quand-la-note-devient-constructive-evaluer-pour-certifier-et-soutenir-les-apprentissages) sur ces questions et je trouve que son modèle de la note constructive est une contribution importante à ce domaine. En dehors de cela, je pense qu'il y a un danger dans un contexte scolaire à se limiter à des évaluations sommatives ponctuelles car elles ne mesurent qu'une performance or on cherche un apprentissage. Je pense que ces évaluation finales doivent être conservées et que la perspective de la note constructive permet d'associer pleinement les dimensions formatives et sommatives. Mais ça représente un réel challenge car ça amène à élargir la notion d'alignement curriculaire (https://www.erudit.org/en/journals/mee/2019-v42-n1-mee05062/1066598ar.pdf) .